L’Europe souhaite une femme à la tête de l’Otan
L’Otan veut oublier l’accusation de « mort cérébrale » portée par Emmanuel Macron, furieux contre l’absence de coordination avec les Etats-Unis imputée à l’inertie de son secrétaire général. Le successeur du Norvégien Jens Stoltenberg à la tête de l’Alliance sera choisi pour le sommet de Madrid fin juin et les Européens veulent désigner une femme, une première pour une organisation dirigée par des hommes depuis sa création en 1949.